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Les actualités des films au cinéma
12 novembre 2012

Le Capital - Critique

Le CapitalLa queue est sans fin pour entrer à l'évêché de Kursaal Le capital de Costa-Gavras. Certains de mes collègues parlent le film du réalisateur français au besoin à l'époque moderne. Est un discours qui, loin d'être dénoncé, juste montrant peu réfléchi, populiste et complaisant vraiment nécessaire ? Le capital de Costa Gravas me rappelle un peu à Argo dans sa facette comme manipulateur tricher et ne sont pas les seuls films lors du festival a voulu convaincre lui-même avec le public, et qui ont certainement réussi. Le film raconte l'histoire de Marc Tourneil, un homme qui a été le bras droit du directeur de la Banque Marmande Phoenix, Jack pendant un certain temps. Avant la maladie subite de cela, Marc passe juste. Pour certains, Marc Tourneil est la solution la plus immédiate et parfaite, tous ceux qui croient en mesure de traiter, au moins jusqu'à ce que la mort de Marmande. Étonnamment, cependant, le nouveau président est un homme avec une grande ambition. Il prendra les décisions importantes de la Banque, certains par choix, d'autres pressée par le secteur américain du stock, représenté par la figure de Dittmar Rigule, vous propose seulement des licenciements en masse et un règlement du Conseil, jusqu'à ce que finalement suggérer l'achat d'une banque japonaise qui, analysé la situation, il leur faudrait la ruine : actions tombait, les petits actionnaires vendent, et les américains pourraient acheter le moins cher Phoenix.

Le film reçut le Kursaal avec beaucoup d'enthousiasme. La directeur actuel, il est ravi, a consacré quelques applaudissements, non seulement à son entrée, mais également au cours de la projection de sortie. Le capital a au moins une bonne chose, ne trompe pas. Il prend le spectateur comme un mineur peut être enseigné, et le public est laissé. Cela se reflète dans l'une des meilleures scènes du film, dans lequel Marc Tourneil invite tous les employés de la Banque lors d'une réunion. Sur un écran géant, vous pouvez voir les travailleurs de leurs webcams, créant ainsi une série de mosaïques dans les visages font leur apparition et plusieurs visages. La scène est intéressante parce que le président finira par donner en retour aux actionnaires et les patrons qui sont dans la salle avec lui, de revenir vers les employés qui observait sur leurs écrans. Cette scène nous montre le populisme qui veut se convaincre avec Tourneil, ce qui rend le gala de Costa-Gavras pour proposer qu'un film sans la parole, aussi plat, tellement simpliste et applaudi.

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